«Quand j’ai choisi d’aller en Australie, à la fin des années 90, il y avait plusieurs raisons : l’attrait de l’hémisphère sud bien sûr, les sélections massales pré-phylloxériques – certaines n’existant plus en Europe – et le fait que l’on trouve les plus vieilles géologies de la planète après l’Antarctique. Venant de France, il y avait aussi l’orientation plus qualitative que quantitative des metteurs en marché. Enfin, le choix de l’Australie qui a des différences avec les autres vignobles du nouveau monde qui sont très – voire trop – orientés œnologie et peu – ou pas – agronomie. C’est sans doute en Australie que les viticulturistes ont le plus de poids dans le nouveau monde et je trouve cela très intéressant.»
Les vendanges ont démarré dans le vignoble australien de Michel Chapoutier, le domaine Tournon. Il dit tout ici.