Qu’on honore la sienne ou celle de ses enfants, voici quelques flacons qui célébreront les mamans comme il se doit. Du champagne rosé ou blanc, en bouteille ou en plus grand. Et un whisky, aussi.
Champagne Ruinart, Dom Ruinart Rosé 2004, 270 euros
La maison Ruinart dit de ce champagne millésimé composé de 81 % de chardonnay et de 19 % de pinot noir vinifié en rouge qu’il est « une sorte de “blanc de blancs rosé” » et précise que la forte proportion de vin rouge entrant dans l’assemblage ne doit pas laisser penser que ce vin est d’une couleur soutenue : « Le chef de cave, en vinifiant ses pinots, ne cherche pas la couleur ou le tanin, il veut des arômes délicats : la framboise fraîche s’accorde avec l’acidité des gelées de groseille sur lesquelles se rajoutent une touche de fraise des bois. Le vin est plus crayeux que fumé. »
Champagne Jacquart, Alpha Brut Millésime 2010, 89 euros (blanc) et 110 euros (rosé)
Cuvée icône de la maison Jacquart, ce champagne brut millésimé se mariera « parfaitement à un tartare de saumon aux huîtres et aux algues, arrosé d’un gaspacho de concombres ou encore à une langoustine mi-cuite parfumée à l’orange, riz basmati vert, jus réduit en émulsion. » Sa version rosé est l’accompagnement idéal d’un carpaccio de bœuf et « se marie également à la perfection avec des rougets grillés ou encore un sabayon aux fruits rouges. »
Glenmorangie, Grand Vintage Malt 1989, 595 euros
Seconde expression de la série « Bond House No.1 », qui raconte l’histoire de la distillerie écossaise à travers ses meilleures eaux-de-vie, cet assemblage unique est le fruit de vingt-sept années de maturation dans d’anciens fûts soigneusement sélectionnés, dont un ancien fût de côte-rôtie. Ce single malt doté d’un flacon numéroté (cette édition est limitée à 168 coffrets) a été élaboré par Bill Lumsden, directeur de la distillation, de la création et des réserves de whisky chez Glenmorangie.
Champagne Gosset, Grand Blanc de Meunier Extra-Brut, 85 euros
Edition limitée à seulement 5 000 exemplaires, cette cuvée proposée par la plus ancienne maison de vins de la Champagne (fondée en 1584) est le fruit d’une étude consacrée à l’expression du « potentiel de garde des meuniers. » Reflet du patrimoine de la maison et hommage au « cépage le plus répandu en Champagne, utilisé principalement pour donner de la souplesse au vin », précise Odilon de Varine, chef de cave de la maison Gosset, ce champagne a vieilli neuf ans en caves (« il est composée d’une majorité de vins de 2007 et d’une petite touche de vins de réserve. »)
Champagne Henriot, Brut rosé, 105 euros le magnum
Assemblage essentiellement composé de raisins issus de premiers et grands crus champenois, ce champagne rosé « fait la part belle au pinot noir de la montagne de Reims » tout en conservant « la minéralité fraîche du chardonnay issu de la côte des Blancs. » Après avoir passé trois ans « dans le calme, l’obscurité et la fraîcheur » des caves, cette cuvée en format magnum est prête pour accompagner l’apéritif comme pour passer à table avec des plats exotiques, des viandes rosées ou un dessert aux fruits rouges, conseille la maison Henriot.