C’est Bernard Magrez qui, avec beaucoup d’humour, m’a fait parvenir cette coupure du quotidien Sud-Ouest. Il faut dire que l’affaire est énorme. Un margoulin de petit calibre au passé guère reluisant, s’est fait serrer par la police. Il vendait de faux pétrus au prix des vrais. Pour sa défense, il a fait valoir qu’il emplissait les bouteilles avec du saint-émilion château-fombrauge et du saint-julien château-talbot. Ce qui fait beaucoup rire Bernard Magrez qui précise avec une certaine jubilation :