Trois. Bien différents. Un Vina Tondonia 1996, ce blanc qui fait irrésistiblement penser à un jura, un château-chalon, ce genre de suavité fumée et on se disait qu’il avait la vie devant lui. Un vega-sicilia unico 2000, trop jeune dans son soyeux, la trame serrée pour une ampleur immense, le fruit explosif, cette finale d’opéra, un très grand vin, bien sûr, très rare aussi. Merci à Stephen de ce beau cadeau qui suivait un clos-des-goisses 2002, le beau champagne de Charles Philipponnat, une dentelle trop jeune aussi. Tout ceci précédait un saumur-brézé 2008 de chez Guiberteau, parfait dans sa jeune tension…Lire la suite