Retrouver cette sélection dans En Magnum #38. Vous pouvez l’acheter en kiosque, sur notre site ici, ou sur cafeyn.co.
André Bergère, Les Peignottes
Ce joli domaine de Champagne, installé au cœur de la vallée du Petit Morin dans le secteur de la côte des Blancs propose ce pur chardonnay qui met à l’honneur une parcelle spécifique d’Oger. Extra brut, généreux et suave en bouche, il exprime des notes de fleurs blanches et d’agrumes confits. Encore meilleur avec une belle gastronomie.
85 euros
Alfred Gratien, Brut Millésimé 2008
Pour fêter ses 160 ans, la maison met les petits plats dans les grands avec cette cuvée confidentielle (1 600 bouteilles et 160 jéroboams). Le millésime 2008, excellent en Champagne, et l’assemblage des trois cépages (chardonnay, pinot noir et meunier) donnent ici un vin délicat et subtil par ses notes de fruits blancs frais et d’arômes briochés.
160 euros
André Robert, Terre du Mesnil 2016
Le couple de passionnés qui s’occupe de ce domaine situé au Mesnil-sur-Oger signe une gamme de champagnes précis et intenses, issus d’un travail sérieux à la vigne comme en cave. Cette cuvée révèle la quintessence du terroir spécifique du Mesnil, par une dimension crayeuse et minérale très marquée. La finale est droite et pleine de classe.
65 euros
Ayala, Collection N°16
Maison d’Aÿ spécialiste du chardonnay, Ayala dévoile son savoir-faire avec le quatrième opus de sa « collection ». Celle-ci s’appuie sur des vins de base issus du millésime 2016 et assemble quatre cépages blancs (chardonnay, arbane, petit meslier, pinot blanc) et six premiers et grands crus de la côte des Blancs et de la montagne de Reims. Superbe blanc de blancs précis et délicat.
110 euros
Barons de Rothschild, Triptyque 2018
Grâce à l’excellent travail de Guillaume Lété, son chef de cave, la maison Barons de Rothschild – née de la réunion des familles Rothschild de Mouton, de Lafite et de Clarke – propose des champagnes purs et élégants, de plus en plus identitaires. Cette cuvée qui assemble trois grands crus (Avize, Ambonnay, Aÿ) séduit par son intensité, son équilibre et sa finale saline.
99 euros
Besserat de Bellefon, Cuvée des Moines 2015
Récompensée d’une étoile supplémentaire dans Le Nouveau Bettane+Desseauve, notre guide des vins annuel, la maison, remise sur de bons rails par sa directrice Nathalie Doucet, a décidé de donner une seconde vie à sa cuvée de prestige historique. Il s’agit d’un blanc de blancs aérien, à l’effervescence délicate et très subtil sans ses saveurs.
180 euros
Billecart-Salmon, Elisabeth Salmon 2012
Sommet de finesse et icône de la catégorie des cuvées de prestige rosées, Elisabeth Salmon a toujours occupé une place à part dans l’esprit des amateurs qui y retrouvent le grand style Billecart-Salmon, entre précision aromatique, fine structure et finale intense. Brillamment construit, ce rosé enchante par sa chair délicate et sa complexité aromatique, ce qui en fait une définition universelle de la séduction.
190 euros
Boizel, Joyau 2012
Fondée en 1834, cette maison historique et familiale, dirigée aujourd’hui par une génération dynamique propose une gamme classique dominée à son sommet par cette cuvée racée et énergique par sa droiture. On aime son fruité fin et ses saveurs de noisette, tandis que la bouche est élégante avec une finale sapide qui se prolonge longtemps.
130 euros
Bollinger, PNVZ19
Toujours dans l’optique de réaffirmer les piliers de son style fondé sur le pinot noir, la maison établie à Aÿ depuis 1829, propose une nouvelle version de sa cuvée PN. Elle met à l’honneur le terroir de Verzenay, avec une majorité de vins issus de l’année 2019, complétés par des vins de réserve, autre point fort de Bollinger. Intense, parfumé, ultra précis et minéral, c’est un champagne irrésistible.
125 euros
Bruno Paillard, Nec plus Ultra 2009
Le style des champagnes Bruno Paillard a conquis les amateurs les plus pointus, notamment par l’intermédiaire des meilleurs restaurants dans le monde. La sortie de cette cuvée rarement élaborée est un petit évènement pour les amateurs des cuvées produites par Alice Paillard, qui dirige la maison fondée par son père. Grande profondeur, finesse, raffinement, c’est de la très haute couture.
265 euros
Canard-Duchêne, V 2012
Dix années de vieillissement en cave permettent à cette cuvée de prestige d’afficher la complexité propre aux champagnes d’exception. Assemblage de dix-neuf crus (dont 40 % de grands crus) dominé par une forte proportion de pinot noir (70 %), ce champagne exprime avec force les nuances du millésime 2012. Structure, fraîcheur, salinité, il a les attributs du grand champagne capable de se bonifier avec le temps.
80 euros
Castelnau, Millésimé 2006
Portée par Hannelore Chamaux, sa directrice générale, et Carine Bailleul, sa cheffe de cave, Castelnau réinvente son identité et le style de ses champagnes. L’amateur doit rechercher les cuvées millésimées de la maison, étonnantes par leur grande capacité de garde. Parmi celles-ci, ce 2006 brioché et savoureux, aujourd’hui dans sa pleine maturité, impose son style expressif et gourmand.
57 euros
Charles Heidsieck, Blanc de blancs
Fondée à Reims, la maison se distingue par l’onctuosité de ses champagnes, qualité caractéristique du « style Charles », basée sur une harmonie virtuose et pure entre temps long, exceptionnelle bibliothèque de vins de réserve et dosage révélateur. Robe or pâle, zeste d’agrumes et touches citronnées, on est sous le charme de ce blanc de blancs gourmand et élancé à la tendresse apéritive.
70 euros
Charpentier, Pinot meunier – Zéro dosage
Installé à Charly-sur-Marne et spécialiste du pinot meunier, Jean-Marc Charpentier a conduit ses vignes sur la voie de la biodynamie et propose une gamme de champagnes harmonieux et ciselés, qui allient avec réussite fraîcheur aromatique et vinosité. Notes de fruits à noyaux et de fruits blancs, fin et délié, ce vin mérite une gastronomie inventive.
61 euros
Clos du Château de Bligny, Six cépages
Niché au cœur de la côte des Bar, ce magnifique château est la propriété de la famille Rapeneau qui protège ce patrimoine historique. Dans ce secteur, le climat champenois parfois rigoureux et continental se fait davantage ressentir, ce qui donne des styles de vins vifs. Ainsi de cette cuvée spéciale harmonieuse et intense, aux arômes nets et précis. Belle réussite.
70 euros
De Saint-Gall, Le Blanc de bio
L’Union Champagne est un groupement coopératif qui s’appuie sur des vignobles de premier ordre, avec une majorité de villages de la côte des Blancs, dont celui d’Avize, siège de la cave. Cette dernière a créé la marque De Saint-Gall pour commercialiser des champagnes qui ne cessent de gagner en finesse et en équilibre, comme cette nouvelle cuvée bio 100 % chardonnay, plaisante et apéritive, présentée dans un packaging écoresponsable.
50 euros
De Sousa, Cuvée des Caudalies 2013
La nouvelle génération de la famille De Sousa propulse ce domaine au sommet de la Champagne. À la vigne, conduite en biodynamie, tout est fait pour favoriser l’expression des raisins donnés par les très nombreuses vieilles vignes du domaine. Merveilleux de complexité et de justesse, ce caudalies exprime avec style la quintessence des terroirs de la côte des Blancs dans l’étonnant millésime 2013. Une immense promesse d’émotion.
175 euros
Deutz, Amour de Deutz rosé 2013
Une nouvelle direction est aujourd’hui en place dans cette belle maison d’Aÿ : Marc Hoellinger à la présidence et Caroline Latrive comme cheffe de cave. Dans l’excellente gamme, cet amour rosé vineux et élancé nous a pleinement convaincu par sa complexité de parfums fruités, de fleurs et de lard fumé. Sa profondeur épicée et poivrée se déploie dans le verre avec beaucoup d’intensité et de raffinement.
180 euros
Édouard Brun, Brut Nature
Cette petite maison d’Aÿ, fondée en 1975 et tenue depuis le milieu des années 1990 par la famille Delescot, a considérablement progressé ces dernières années. Parmi ses plus belles réussites, le brut nature présente un joli corps, fin et tonique, avec des notes citronnées qui donnent de la vivacité à cet ensemble réussi.
58 euros
Moutard, Trois Pinots – Les Saunières
La maison est l’une des plus anciennes de la côte des Bar, installée à Buxeuil depuis 1642, près de Troyes. Elle propose une gamme de champagnes issue de ces terroirs argilo-calcaires spécifiques, dont cet assemblage de pinot noir, meunier et blanc, vineux et séducteur par son intensité et sa profondeur. Un champagne de grande longueur que l’on peut faire vieillir et qui impressionnera.
72 euros
Frerejean Frères, Cuvée des Hussards 2013
Jeune maison née en 2005 et installée à Avize, Frerejean Frères a été créée, comme son nom ne l’indique pas tout à fait, par trois frères issus de l’une des branches de la dynastie Taittinger. La gamme est naturellement tournée vers des champagnes à dominante chardonnay, bien construits et séducteurs. Ce nouveau millésime de sa cuvée de prestige illustre la grande qualité des vins et une vision stylistique affirmée, entre fraîcheur et subtilité. L’une de nos bouteilles pour le réveillon de Noël.
165 euros
Gatinois, Millésimé 2014
Géré avec application, ce vignoble familial de sept hectares situés à Aÿ propose des champagnes qui ont pour habitude de pinoter, selon les millésimes. On appréciera cet excellent rapport qualité-prix qui affiche dans ce millésime 2014 des notes de réduction sur la noisette et le grillé. La bouche est vineuse et se prolonge avec classe.
45 euros
Gosset, Celebris Vintage 2008
Le duo constitué par Odilon de Varine et Gabrielle Malagu continue d’affirmer les fondamentaux d’une maison qui ne cesse de nous impressionner. Entre fraîcheur, vivacité et minéralité, la gamme propose de nombreuses cuvées, certaines issues de vins longuement vieillis, comme ce 2018 au nez racé et aux notes d’agrumes confits, de fruits secs, de fleurs séchées, de tisane (verveine). Complexe et puissant, le grandiose millésime 2008 donne à ce champagne un style inimitable et un formidable potentiel de garde.
515 euros le magnum
Henriot, L’inattendue 2018
Alice Tétienne, la cheffe de cave de la maison, a une idée précise de ce qu’elle veut faire. Sans rupture, mais de manière proactive, elle s’attèle à donner à la gamme, par ailleurs très recommandable, un éclat et une gourmandise encore plus marqués. Dernière création, ce blanc de blancs de la côte des Blancs a reposé quatre années en cave, soit juste assez pour ne pas laisser l’effet du vieillissement altérer le profil aromatique propre au cru Chouilly, dont il est issu. Généreux, exotique, c’est un champagne de fête.
111 euros
Jacquart, Aÿ 2018
La marque, qui fête ses soixante ans cette année, propose un éventail de champagnes bien construits grâce à un approvisionnement dans plus de soixante crus. Les cuvées font la part belle au chardonnay et l’arrivée en 2020 de Joëlle Weiss comme œnologue en fait une marque sans faiblesse. Nouveau-né dans la gamme, ce mono-cru fin et intense témoigne aussi des qualités vigneronnes de cette maison bien lancée sur la route de l’excellence.
99 euros
Lallier, R.021
Dominique Demarville a fait progresser Lallier de manière spectaculaire. Il signe aujourd’hui son premier assemblage avec cette édition de la cuvée R, pour réflexion, qui continue de réinventer le concept de brut sans année. Complexe et épanoui, il est fidèle au millésime 2021, base de cet assemblage, et montre à quel point s’appuyer sur de bonnes origines de terroir est décisif pour élaborer un grand champagne.
39,90 euros
Laurent-Perrier, Grand Siècle n°26
Les années semblent glisser sur Michel Fauconnet, chef de cave de la maison de Tours-sur-Marne qui aura fait du chardonnay son cépage fétiche. La cuvée de prestige, Grand Siècle, ici dans sa 26e itération, brille par son style droit, minéral et profond. Principe inaltérable de cette cuvée créée en 1952, l’assemblage des trois millésimes 2012 (65 %), 2008 (25 %) et 2007 (10 %) donne un vin intense et savoureux, d’une grande intensité, plein de cet élan supérieur qui fait la force des meilleurs vins.
240 euros
Le Brun de Neuville, Autolyse Noirs & Blancs
Sous l’impulsion de Damien Champy, accompagné par une équipe talentueuse et créative, l’ensemble des vins de la maison Le Brun de Neuville séduit par sa souplesse et sa précision aromatique. Ce champagne de table, généreux et intense, a profité des effets de l’autolyse des levures pendant son vieillissement pour gagner en complexité aromatique. Structure impressionnante, large palette aromatique, on aime sa puissance civilisée.
55 euros
Leclerc-Briant, Château d’Avize 2014
La maison a trouvé une brillante maturité de style et ses champagnes, issus d’une viticulture biodynamique, affichent une personnalité profonde qui cherche à souligner chaque terroir. Issu d’une parcelle d’à peine plus de deux hectares en côte des Blancs, ce pur chardonnay élevé partiellement en fûts de chêne dévoile des notes fumées et une large structure en bouche qui invite à l’attendre encore un peu en cave.
250 euros
Mandois, Clos Mandois 2012
Autour de Claude Mandois et de l’équipe de Maximilien de Billy, le chef de cave, la maison affiche de nouvelles ambitions qui viennent de trouver leur point d’orgue avec la construction de nouvelles infrastructures. Elles permettront d’aller encore plus loin dans l’expression des meuniers de ce clos. Dix ans de vieillissement ont donné à cet extra brut une richesse aromatique entre notes grillées et beurrées.
170 euros
Nicolas Feuillatte, Palmes d’Or 2009
À la tête du pôle technique, Guillaume Roffiaen mène avec l’entrain et l’énergie qu’on lui connaît les équipes nécessaires pour faire avancer Nicolas Feuillatte. Avec sa cuvée de prestige, la maison pousse encore plus loin les curseurs du grand champagne. Et notamment, avec ce millésime 2009, le vieillissement nécessaire pour que cette année solaire gagne en équilibre et en fraîcheur. Son registre citronné lui donne un style à part, immédiatement appréciable.
130 euros
Palmer & Co, La Réserve
Si la régularité des champagnes de la maison impressionne depuis plus de trente ans, Palmer & Co a encore franchi un palier ces deniers millésimes, en réaffirmant son exigence quant à ses cuvées traditionnelles. Renommé La Réserve, son brut s’appuie sur les meilleurs pinots noirs du secteur de la montagne de Reims pour exprimer intensité aromatique et finesse de texture. Vive, avec ce qu’il faut de vinosité, la bouche est aussi apéritive que gastronomique.
37 euros
Pannier, L’Ode au meunier
Comme l’ouest champenois est voué au meunier, rien d’étonnant à ce que cette maison située à Château-Thierry, dans la vallée de la Marne, déclare sa flamme au cépage avec ce champagne à la robe dorée, élégant par ses arômes sur les notes boisées et les notes de fruits mûrs. Ample, charnu et généreux, c’est un vin dédié à la gastronomie qui fera son effet auprès des convives les plus connaisseurs.
50 euros
Perrier-Jouët, Belle Époque rosé 2014
Perrier-Jouët fait partie de ces maisons qui incarnent l’art de vivre à la française, en particulier avec cette cuvée Belle Époque, icône de la maison. Pensée dès son élaboration pour accompagner une gastronomie raffinée, ce rosé élancé a encore gagné en profondeur et en définition aromatique avec ce millésime 2014. On aime sa délicatesse et sa subtilité.
350 euros
Philippe Gonet, Blanc de blancs grand cru 2017
Depuis quelques millésimes, les vins de cette maison attachante affichent une incontestable identité minérale qui leur donne un supplément de tension et de fraîcheur. On aime la gourmandise immédiate de ce champagne fruité (nectarine) et savoureux issu du secteur privilégié de la côte de Blancs, idéal à marier avec des fromages crémeux.
90 euros
Pol Roger, Rosé Vintage 2018
La force de cette maison familiale et indépendante repose sur sa recherche intransigeante de la meilleur qualité, combiné à des vieillissements qui donnent à ses cuvées de prestige une dimension fraîche et profonde. Pureté et précision caractérisent la gamme et ce 2018, encore jeune, mais déjà appréciable, régale par ses notes intenses de fruits noirs et ses accents grillés du plus bel effet.
90 euros
Pommery, Cuvée Louise 2006
Pommery est l’une des grandes marques de la Champagne. Propriété de la famille Vranken depuis 2002, ses champagnes affichent toujours ce style fin et délié qui a fait leur succès. À tous les points de vue, la maison a retrouvé aujourd’hui le haut niveau qualitatif et cette cuvée Louise s’affirme comme une référence d’élégance, portée par une belle maturité de raisins. La finale tendre et ronde lui donne beaucoup d’harmonie.
195 euros
Rare, Rosé 2014
Aussi bien dans sa version blanche que rosée, la cuvée de la maison Rare, toujours millésimée, ne fait aucune concession sur la qualité. C’est d’ailleurs pour cela que nous aimons tant ce grand champagne rosé de gastronomie qui atteint cette forme suprême de raffinement partagée seulement par quelques rares cuvées de sa catégorie. Vin magique et émouvant.
410 euros
Ruinart, Blanc Singulier Édition 19
Forte de son histoire où le chardonnay règne en roi, Ruinart a pris à bras le corps les enjeux climatiques. La maison s’est engagée pour respecter au mieux ses terroirs et leur biodiversité, en bousculant ses principes viticoles, mais aussi en proposant cette nouvelle cuvée qui anticipe l’évolution du goût des champagnes dans un climat plus chaud. À la fois ciselé et gras en bouche, ce vin qui raconte le millésime 2019 séduit par son équilibre et la précision de sa finale crayeuse.
90 euros
Sanger, Terroir natal
La maison vinifie les apports de quatre-vingts vignerons pour un équivalent de neuf hectares auxquels s’ajoutent les six hectares du domaine du lycée viticole d’Avize. L’ensemble est orchestré de main de maître par Nicolas Robert, le chef de cave, qui élabore des champagnes identitaires et toujours savoureux. Cette cuvée hommage au terroir d’Avize affiche une dimension généreuse, avec des notes de fruits blancs et d’épices douces.
42 euros
Taittinger, Brut Réserve
Avec l’élégance donnée par des proportions importantes de chardonnay dans ses assemblages, la maison a spectaculairement réaffirmé son style, en particulier avec cette cuvée, superbe de profondeur. Finement citronné et porté par une bulle fine, ce brut harmonieux, crémeux et généreux, affiche une rondeur fruitée engendrée par une forte proportion de vins de réserve. Finale pleine d’éclat sur les notes d’orange sanguine.
31 euros
Thiénot, Cuvée Garance 2012
Garance et Stanislas Thiénot veillent sur leur maison familiale, réussissant la montée en gamme de leurs champagnes, notamment avec les cuvées qui portent leurs prénoms. Dans ce superbe millésime 2012, ce beau champagne impose son potentiel par sa structure et son intensité. Cela ne l’empêche pas de présenter cette finale apéritive commune à toutes les cuvées de la maison. Il continuera à évoluer vers encore plus de finesse.
94 euros
Veuve Clicquot, La Grande Dame 2015
Le millésime 2015 a fait naître ce monument absolu, d’un niveau de beauté rarement atteint jusqu’ici par cette cuvée de prestige qui excelle par son style défini par une forte proportion de pinots noirs expressifs et intenses. Malgré un nez puissant sur les notes de fleurs (bergamote) et d’épices poivrées, ce champagne est encore un peu sur la retenue aujourd’hui, mais sa longue persistance en fera un rendez-vous que ne nous ne manquerons pas.
210 euros
Veuve Fourny, Monts de Vertus 2016
Charles-Henry et Emmanuel Fourny ont transformé cette petite maison familiale installée à Vertus depuis 1856 en une adresse sûre et excitante pour les amateurs de champagnes précis, vineux et authentiques. Cuvée de grande race exprimant superbement le terroir de Vertus, ce 2016 encore juvénile affiche une énergie tonique et de belles notes minérales. Il faut l’attendre en cave.
61 euros
Waris Hubert, Lilyale
La quatrième génération de la famille Waris-Hubert, installée à Avize dans la côte des Blancs, dispose de terroirs en premiers et grands crus parmi les plus réputés du secteur. Les cuvées de la gamme ont des noms inspirés et poétiques. On retrouve dans celle-ci une forme de minéralité associée à des notes de zestes d’agrumes. Droit et vif, voici le compagnon idéal d’un plateau de fruits de mer.
43 euros