Le numéro 4 de notre joli magazine sort vendredi 24 juin (après-demain) chez votre marchand de journaux. L’histoire continue, puisque ça se passe bien.
Ce numéro est consacré (pour l’essentiel, mais pas seulement) à la viticulture bio. Du coup, on l’a appelé « le numéro vert », mais il n’est pas surtaxé. C’est le bio et la biodynamie à notre façon, sans affolement et sans négligence ou aveuglement idéologique. Il y a même un avis contraire, article rédigé par l’ingénieux André Fuster, également blogueur (clic). C’est dire la largeur de vue, c’est dire l’œcuménisme. Avec, évidemment, les dix maîtres du bio et les dix cuvées qu’il faut avoir bues avant de parler.
Les autres sujets sont bien aussi.
Un papier magistral nous explique comment peut durer le phénomène rosé, ou pas. Un autre propose 85 vins à moins de quinze euros, les médaillés d’or du concours Prix-plaisir. À l’autre bout du canapé, Aubert de Villaine nous dit ce qu’il y a dans sa romanée-conti.
Des photos d’une nuit de gel à Chablis pour comprendre les difficultés d’être vigneron, des magnums (bio) interviewés, la double page de bande dessinée de l’impeccable Régis Franc, aussi producteur de Chante-Cocotte (un futur grand vin des Corbières dans les trois couleurs). Notre ami blogueur Coureur de vin a visité des restaurants « nature », la pointe de la flèche bistronomique, il en est sorti vivant (ah, ah) et plutôt content, à deux ou trois clowneries près.
Nous avons aussi publié, comme d’habitude si l’on peut dire, une série de dix Têtes de cuvée, sorte de galerie de souvenirs, les belles personnes croisées dans le vignoble depuis dix ans, tous praticiens du bio ou de la biodynamie. Onze géants verts, quoi.