Donc, il n’est pas venu et peut-être ne viendra-t-il plus. Contre toute attente, ce n’était pas vraiment un sujet de conversation dans les déjeuners, les dîners, les dégustations. À croire que ça ne faisait ni chaud ni froid à la petite foule qui se pressaient dans les chais et les châteaux.
Il avait dépêché un collaborateur, un type charmant et très fin dégustateur, qui s’appelle Neal Martin. C’est lui qui déguste pour The Wine Advocate, la revue que Parker a vendu à des investisseurs singapouriens. C’est peu de dire que tout le monde s’en fout. Il rendra ses notes, Parker les relira, elles seront publiées et voilà tout. Et plus personne n’attendra la fatidique publication des notes pour sortir son prix….lire la suite sur le blog bonvivant