On aime le sud.
Le printemps est enfin revenu et avec lui le festival des vins de la région Languedoc Roussillon. L’année dernière, 850 établissements avaient joué le jeu. Pour cette 3e édition, ils sont encore plus nombreux. Du 20 mars au 20 avril, 500 cavistes et 600 restaurateurs à Paris, Toulouse et Strasbourg, brasseries, restaurants de quartier, bistrots ou bars à vins, feront découvrir à leur clients les AOC et IGP du sud de la France. On peut télécharger ici le guide des bonnes tables parisiennes. Nouveauté cette année, le Printemps du Languedoc-Roussillon se fait digital. Outre la carte interactive proposée sur le site de l’événement, un système de géolocalisation a été mis en place en partenariat avec Placeloop (plateforme qui connecte les marques aux points de vente indépendants). Il permettra de prévenir les amateurs dotés d’un smartphone qu’ils sont à proximité d’un caviste ou d’un restaurateur participant à l’opération, histoire de ne manquer aucune belle découverte de ces vins dont le taux de référencement ne cesse de progresser. Dans la restauration, ils sont passés de 33 % en 2005 à 48 % aujourd’hui et affichent même un taux de présence de 76 % sur les cartes les plus gastronomiques (Source : CHD Expert 2013).
On se met au vert.
Les 23 et 24 mars, les vignerons bio du Jura tiennent salon au château de Gevingey (39570). Plus d’une trentaine de domaines seront là pour présenter le travail issu de ces 300 hectares de vignoble cultivés de façon biologique (soit 16 % de la surface totale, contre 8,2 % en moyenne dans les vignobles français). Dimanche, le grand public comme les professionnels ce dimanche seront accueillis de 10 h à 18 h. Un bus gratuit fera la navette entre la gare de Lons et Gevingey et une petite restauration bio est possible sur place. Lundi, de 9 h à 13 h, l’entrée sera uniquement réservée aux professionnels.
On se prend pour un chef.
Samedi et dimanche à Lyon (mais aussi le 18 mai à Beaune), se tiendra la 6e édition d’une vente appelée « La vaisselle des chefs » qui accueillait l’année dernière pas moins de 1 500 visiteurs. Ouverte aux amateurs comme aux plus pointus des collectionneurs, cette manifestation est l’occasion d’acquérir des assiettes, de l’argenterie, du linge de table ou encore des seaux à champagne issus de restaurants étoilés. Parmi les pièces dénichées cette année par Catherine Pons, à l’origine de ces ventes, et Mylène Boulanger, on trouvera par exemple les assiettes créées pour le concours « Bocuse d’Or ». Si les pièces les plus exceptionnelles ou imposantes (il y a aussi du petit mobilier) peuvent atteindre quelques centaines d’euros, l’essentiel de la vente est accessible à partir de 2 ou 3 euros. En 2013, 80 % du volume a été vendu. Plus de renseignements ici.