On m’a beaucoup reproché mon billet d’hier qui était jugé « malpoli » ou « à la limite de l’insulte » ou « machiste » voire « paternaliste » à l’endroit de Madame Saporta, maladroite auteur de Vino business, un petit livre inutile. J’ai ri.
Pour m’amender, je propose ci-dessous ce texte très argumenté. Je l’ai reçu hier, par mail et de manière anonyme et il apparaît que son auteur signe d’un pseudonyme. Ainsi l’information des lecteurs de ce blog sera complète. Je le publie tel que je l’ai reçu, fautes d’orthographe et de typo incluses, sans rien en modifier.
Sur le même sujet, je renvoie également à la lecture de L’Express de…lire la suite