Le graffeur André est un garçon vif. Il a des réflexes acquis sans doute à l’époque où il fallait savoir décamper quand il tagguait les murs de Paris avec ses petits dessins à la bombe de peinture et qu’arrivait la police. Et puis, le délicat et très démagogue Jack Lang ayant décidé que c’était un art, un street-art, André est devenu une vedette et maintenant, il signe avec son patronyme, plus seulement un prénom. Il s’appelle André Saraiva.
Fort de ce nouveau statut, il a vendu son talent ici et là, des œuvres ou des collaborations, on l’a même vu associé avec la famille Coste pour l’ouverture de l’Hôtel Amour, rue Clauzel à Paris, ex-quartier populaire devenu « SoPi », comprendre South Pigalle. C’est drôle, riez.
Voilà que ce garçon qui a le sens de ce qui va bien nous sort un champagne neuf. Moins de 5 000 bouteilles…lire la suite