Et si la loi Evin n’était qu’une petite combineau bénéfice de Cahuzac ?

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C’est un tweet de Bernard Burtschy qui m’a mis sur la piste du petit développement qui suit. Où il est question de comptes en Suisse, de concordances de dates, de l’industrie pharmaceutique. Et de Jérôme Cahuzac.
Et d’un conditionnel prudent, l’erreur est toujours possible.
Voyons cela.
L’aigrefin s’est beaucoup vanté d’avoir été le rédacteur de la loi dite Evin. C’est-à-dire que sur l’impulsion et les idées générales de son ministre, il en a assuré la philosophie, les tenants, les aboutissants et l’écriture au nom de la santé publique. Il est l’auteur du flou législatif qui a permis aux prohibitionnistes de s’engouffrer dans la brèche. La scène se passe en 1991, époque où le monsieur a ouvert son compte bancaire en Suisse.
Le monsieur est un chirurgien esthétique, il gagne assez bien sa vie pour avoir le temps de passer à la vitesse supérieure via la politique, c’est pratique. Deux choses passionnantes à mettre en parallèle. D’une part, le croisement des courbes de consommation de vin et d’anxiolytiques en France. La première s’écroule, la seconde grimpe en flèche. D’autre part, le fait que de gros…lire la suite

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