Les conséquences du réchauffement climatique font régulièrement l’objet de nouvelles alarmistes. La dernière
en date concerne le vignoble et c’est le résultat d’une étude publiée dans une revue scientifique américaine.
D’ici à 2050, une profonde modification des terres propices à la culture de la vigne devrait avoir lieu (entre autres) en Europe, avec une réduction, dans le meilleur des cas, de 39 % des surfaces existantes et dans le pire des scénarios, de 86 %. Ici, l’article paru dans Le Monde. Là, le blog et l’avis de Vincent Pousson sur ce sujet.