Jacques Lardière, le chaman de la côte

Ce soir, la maison Louis Jadot reçoit pour honorer Jacques Lardière. Il prend sa retraite après quarante années passées là. Je suis invité, je n’y serai pas. Overdose de boulot. C’est peu dire que je regrette. J’ai trop les boules, oui, comme dirait la stagiaire qui s’y connaît en états d’âme.

J’ai rencontré Jacques Lardière au début de l’automne et j’ai rédigé le texte ci-dessous, publié dans le numéro de novembre de Série limitée, le beau supplément mensuel du quotidien Les Échos. Ceux qui le liront jusqu’au bout comprendront qu’il est assez difficile de n’être pas à Beaune, ce soir, en train d’applaudir debout le discours sublime que Lardière ne manquera pas de prononcer, l’émotion à son comble. Snif…lire la suite

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